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Epilation laser : ma première séance, c’était comment ?

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L’épilation laser me tentait depuis un bon moment sur certaines zones du corps. Si vous suivez RefDeLuxe, vous le savez déjà puisque j’avais rédigé un long premier billet sur l’épilation définitive en août dernier. Ma première séance d’épilation laser a eu lieu hier, je vous ai d’ailleurs fait part de mon stress sur Instagram – merci d’avoir pris le temps de me rassurer ! L’heure est venue de partager cette expérience avec vous, à J+1.

Mon envie d’épilation laser, rappel de l’épisode précédent

Si vous n’avez pas le temps de lire mon premier article sur l’épilation définitive, sachez que j’ai choisi de passer le cap au niveau du maillot et des aisselles. Je continue de faire confiance à d’autres méthodes pour les jambes et ne compte pas du tout passer par la case laser à cet endroit.

J’ai eu un premier rendez-vous avec un médecin en août pour voir si j’étais « éligible » à cette technique. Après un premier test sur des micro-zones, banco : je peux me lancer ! Mon premier rendez-vous a été décalé plusieurs fois de mon fait – petits soucis d’agenda – et a finalement eu lieu hier au Centre Marceau à Paris (les tarifs sont directement indiqués sur le site du lieu).

Je n’aime pas avoir à me justifier… mais c’est malheureusement parfois une obligation ici. Sachez que ces séances ne sont nullement le fruit d’un partenariat avec le centre d’épilation où je me rends. Il s’agit d’une démarche personnelle et d’une prestation réalisée à mes frais.

A lire :
Epilation maillot : tout ce qu’il faut (vraiment) savoir

H-2 / La préparation de la séance d’épilation laser

La peur avant le rendez-vous
Le médecin m’avait prescrit de la crème anesthésiante. Etant très douillette, j’étais rassurée. Sauf que le jour J, je n’en menais franchement pas large. Je pensais à nouveau à la douleur ressentie lors du micro-test du premier rendez-vous. Et je me demandais comment j’allais réussir à me dépatouiller avec de la crème anesthésiante sur le maillot. Finalement, j’ai fait mes recherches sur Internet et je suis tombée sur une vidéo… réalisée par le Centre Marceau (comme quoi !!), expliquant la marche à suivre. Je l’intègre ici, parce que ça m’a vachement aidé.

La crème anesthésiante, le cellophane et moi  Dans mon cas, on m’a recommandé de poser la crème anesthésiante deux heures avant la séance au niveau du maillot. Le médecin m’a dit de ne pas me lancer au niveau des aisselles : avec la transpiration, c’est difficile et en plus on a l’air un peu encombré avec du cellophane sous les bras…! En tout cas, pour le maillot, j’ai appliqué 4 petits tubes de 5mg de crème anesthésiante de façon généreuse. Je n’ai pas cherché à faire pénétrer la crème mais je l’ai laissé poser en couche épaisse. Ensuite, j’ai suivi les instructions de la vidéo ci-dessus pour me faire une sublime culotte en cellophane. Il faut que ça soit bien occlusif pour que la crème fasse effet.

Hier, il faisait plus de 30°C à Paris, autant vous dire que ça a bien transpiré là-dedans… #GLAMOUR #CHIC #BLOGUEUSEBEAUTEQUIFAITREVER Et je ne vous raconte pas le moment de solitude quand j’ai dû enfiler mon pantalon pour me rendre au centre Marceau… La galère !!! J’ai préféré le taxi au metro, tant le scrouitch scrouitch du cellophane était dérangeant à chaque pas.

Et si je ne sais pas poser le tout, comment je fais ?  Le centre où je me rends propose à ses clientes de les aider à poser le cellophane si nécessaire. Je ne sais pas si c’est le cas partout, mais en tout cas il faut venir deux heures avant votre rendez-vous. Ce qui explique pourquoi on croise pas mal de femmes enrubannées (on devine le cellophane sous le short !) en train de regarder un film sur leur ordinateur dans le canapé de la salle d’attentes.

Sinon, vous pouvez tout à fait vous entraîner avant, sans crème anesthésiante. Le plus difficile est sans doute de manier le cellophane, car il ne faut surtout pas créer de bulle d’air. Devenez une experte de la culotte en cellophane, je suis sûre que ça vous servira dans une autre vie, ahah !

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5 minutes avant l’épilation laser

Personnellement, je déteste arriver en retard à mes rendez-vous. Je suis donc entrée au centre 15 bonnes minutes avant l’horaire demandé. Et on m’a fait patienter. Bon… plus que de raison (au final, l’épilation a commencé 25 minutes après mon heure de début de rendez-vous, prévoyez donc un laaaarge créneau horaire devant vous si vous allez là-bas). Mais quelques minutes avant d’entrer dans la salle pour le laser, on m’a fait enlever ma culotte en cellophane et essuyer l’excédent de crème anesthésiante. Pensez à emporter une culotte (une vraie de vraie, cette fois !) avec vous, pour l’après-séance.

La séance d’épilation laser, alors c’était comment ?!

Tout est sous contrôle
J’ai été très cash en entrant dans la salle : « je vais vous sembler très vulgaire Madame, mais je flippe ma race. Voilà, maintenant vous le savez« . L’infirmière qui s’est occupée de moi a été très très cool, hyper rassurante et super professionnelle. Elle a pris le temps de me rappeler le principe de l’épilation laser et ne m’a pas menti sur la douleur que je risquais de ressentir à certains endroits. C’est bête mais ça m’a mise en confiance.
Ensuite, le médecin est venu pour examiner ma peau et indiquer à l’infirmière quels réglages de laser envisager. On a ensuite délimité différentes zones au niveau du maillot et des aisselles à l’aide d’un crayon blanc : le médecin a fait le choix de ne pas « flasher » avec la même puissance partout, notamment en fonction de la pigmentation de mon épiderme. Le médecin s’est éclipsé, l’infirmière et moi avons enfilé nos lunettes de protection… et c’était parti !

On a commencé par les aisselles
Autrement dit par la zone qui n’avait pas eu la chance de bénéficier de crème anesthésiante. L’aisselle droite a supporté le laser, il faut dire qu’elle en avait déjà reçu lors du premier rendez-vous de test avec le médecin. L’aisselle gauche, quant à elle, a été douloureuse. On m’a expliqué que c’était notamment parce que c’était du côté coeur, et que c’est pour ça que la douleur est plus intense.

Puis, on est passé au maillot Je ne vais pas vous mentir, malgré la crème anesthésiante, cela a été un enfer. Ou presque. Certaines zones étaient tellement sensibles que j’en ai sursauté sans avoir le moindre contrôle sur mon corps. Je me suis surprise à me mordre les bras pour supporter la douleur. Ou à fermer les yeux en priant pour que ça s’arrête vite. L’infirmière qui s’est occupée de moi a été top : elle a bien pris en main la séance, voyant que je ne maîtrisais pas grand chose !

Du coup, elle m’a fait faire des exercices de respiration : elle flashait en décomptant les secondes à tenir en me faisant souffler très lentement. Cela m’a énormément détendue et la douleur ressentie m’a ainsi semblé plus supportable. A tel point qu’on a pris notre temps.. mais qu’on est allées jusqu’au bout !

La durée et la douleur  Je serais bien incapable de vous dire combien de temps l’épilation laser a duré en tout et pour tout, j’avais complètement perdu la notion du temps ! En revanche, de mémoire, je crois qu’il s’est écoulé à peine 25 minutes entre le moment où je suis entrée dans la pièce et où j’en suis ressortie.

Pour ce qui est de la douleur, je vous en ai touché quelques mots plus haut. Je suis extrêmement douillette, et il faut avoir le coeur bien accroché (façon de parler hein) pour supporter cela. Nous ne sommes de toute façon pas toutes égales face à la douleur, j’ai en effet lu pas mal de témoignages de lectrices qui disent ne presque rien avoir ressenti. Comme quoi… En tout cas ça ne m’empêche pas de m’accrocher et de continuer le « traitement »…

Et après ?
J’ai appliqué de la Biafine, j’ai évité de me doucher à l’eau trop chaude. Le lendemain matin, je n’ai plus de rougeur (ou alors c’est très diffus). La zone n’est pas plus gonflée que ça. J’ai de la chance, ça semble bien fonctionner sans effet secondaire ! Mon deuxième rendez-vous est prévu pour dans 4 semaines, je vous tiendrai au courant… Maintenant, je dois patienter : les poils doivent tomber tout seuls d’ici une dizaine de jours.

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